Textes en Béton...Désarmant! Prochaînement!
-PESTICIDE (Desouter, 1990 (Revu-2011)
(adapté à peu de frais mais avec force vins fins de « Strychnine » / J. Roslie - Sonics)
Tant de gens bu le kil de rouge Goulou
Quant à d'autres mangé vicious acides
Moi!Oui moi j'imbibe vespétro Glou et Glou
Limonade purgative - je dis Pesticide.
Pesticide Ah!
Pesticide Oh!
Pesticide Bouh!
Pesticide Bah!
-Vous exprimez quoi : C'est un drôle de genre
De goûter ceci pesticide Hou-Mes-Cornes
Toi mais toi t'essaie t'essaie narreux!
Te voici cul-par-dessus-tête Ab-so-lu-ment.
-Oh! Le Rouge est bel Rouge
Et bien le poison nocif
Pesticide est bel et bien bon
Pour débagouler des gobis.
-Ecoute ce que péremptoire je déclare
Absorbe cet Alcool Absolu!
Puis tu chanteras fort tradéri
Toutefois donc tu danseras fort hop-là Geis
Car A-bu-glu-ba et tradéra et en voiture-balai!
Alors. Tu crieras des Cris. Bouh, par exemple!
ORIGINE ARGENTINE (Desouter 1987- Revu 2011 par le même)
-Oh, il est dans Buenos-Aires barbe-de-cocu
2 jolies filles authentiques d’origine Argentine
Le galbé de fortes poitrines
Un cul ou bien cul on ne peut plus ab-so-lu-ment
Et les gens jeunes envisagent houlà
-Jarnicoton, elles ont du chien ab-so-lu-ment!!!
REFRAIN : -Tradéridéra ! Tango.
-Tradéridéra! Tango.
-Houlàlàlà! Tango (Et non pas Rocky-Fox).
-Ensuite la Nuit vient.
-Elles se font belles avec un savon.
Elles sont tirées à plusieurs épingles,
Sur le théâtre de l'avant-scène,elles avancent
Ce pour conquérir les cœurs
De jeunes veaux et vieux boucs.
Et c’est ainsi qu’elles ont rencontré
Un bourreur de caisse : -L'Ami Traillette.
Au Refrain!
-Elles se prennent de bec
Elles se pochent l'oeil droit et gauche
Pour ce petit crevé.
-Mais tout un jour et tant de jours passèrent,
Et un beau jour, fin de ce fol amour.
Et de nouveau, elles prennent oh plaisir
A enflammer les coeurs froids des hommes.
Au Refrain!
SARDINES A L'HUILE (P. Desouter, 1987)
Ah. elles s’élancent, FC Lens, elles s’élancent
S’égosillent et pullulent et copulent en sous-pull
Elles affublent tel un flux continu et discontinu
Un beau tohu-bohu
Elles vont de l’avant du même élan
Et font bombance d’une part de flan
Et toute insouciance, elles chantonnent
Des comptines enfantines
Sardines à l’huile, que fais-tu là ?
Poua Chichi, Poua Chacha
Hélas, en ce monde, l’insouciance n’est pas de mise
Et avec une belle constance, l’innocence
Se heurte aux nuisances
De la malfaisance dégueulasse
Quiconque se la coule douce
A d’ici peu la mort aux trousses
Ce constat sans appel fait l’objet
D’une fable avec laquelle il faudra compter
C’est ainsi que de grand méchants hommes
En cirés jaunes et patibulaires en diable
C’est ainsi que de grands méchants hommes
Les étêtent pour un plongeon dans un bain d’huile